Mon approche
J’ai décidé d’orienter ma pratique vers l’accompagnement, cela fait sens avec ma vision positive de l’humanité et celle de l’unicité de la personne. Chacun de nous possède ou peut acquérir les ressources dont il a besoin. Il me semble qu’à certaines étapes de notre vie, mener un travail sur soi permet de définir un contour qui, de prime abord, peut paraître flou et de le préciser afin d’élargir notre vision du monde. Mais ce processus permet aussi de découvrir des chemins que nous n’osons pas explorer, en vue de nous offrir un large choix de possibilités.
Le déblocage de certaines situations consiste à identifier les croyances associées aux émotions parasites qui s’expriment dans un comportement dysfonctionnel. Une fois ceci exprimé, nous pouvons progresser et explorer de nouveaux espaces où l’on peut comprendre comment activer et acquérir ses ressources personnelles.
J’adapte mes méthodes à mes missions, ainsi chacune est unique. À mon sens, il n’y a pas de coaching type, car l’individu est singulier. Ma profession permet de rencontrer des personnalités très diverses, néanmoins je m’appuie sur des concepts théoriques, ce qui nécessite pour certains un perfectionnement technique. C’est le cas pour la réalité virtuelle, qui exige une exposition progressive et un procédé d’évaluation propre à la VR afin de déterminer le choix des environnements, ainsi certaines immersions sont réalisées conjointement avec une musicothérapeute clinicienne.
Ma déontologie s’appuie sur la charte de la société française de coaching, dont les piliers sont :
- La confidentialité : le respect de la confidentialité des informations qui me sont confiées au cours des séances est essentiel. Un coach s’astreint au secret professionnel.
- L’exercice du coaching : le coach s’autorise à exercer cette fonction à partir de sa formation, de son expérience et de sa supervision initiale.
- Supervision établie : l’exercice du coaching nécessite une supervision.
- Respect des personnes : conscient de sa position, le coach s’interdit d’exercer tout abus d’influence.
- Obligation de moyens : le coach mobilise tous les moyens propres à permettre, dans le cadre de la demande du client, le développement professionnel et personnel du coaché, y compris en ayant recours, si besoin est, à un confrère.
- Refus de prise en charge : Le coach peut refuser une prise en charge de coaching pour des raisons propres à l’organisation, au demandeur ou à lui-même. Il indique dans ce cas un de ses confrères.
Lors du premier entretien, nous définissons le cadre de la mission : ce protocole débouche sur un contrat de relation incluant la durée du coaching, le nombre de séances, les objectifs visés, les critères d’atteinte de ces objectifs, les étapes du processus. Notre première session se déroule à travers la séance découverte que j’organise autour d’un questionnaire lors d’un échange (téléphone, visio, IRL). Dans ce cadre, vous formulez plus précisément votre demande, vos attentes et les ambitions de ce coaching, et j’établis ensuite une proposition pour un accompagnement.
Un coaching est un travail délimité par un cadre caractérisé par un contrat. Celui-ci résulte d’un échange d’informations définissant ce que chacun attend de l’autre. Cette relation est orientée vers un objectif et structurée par un accord, elle est limitée au temps de la mission déterminé par le nombre de séances et leurs fréquences. Il est préférable d’organiser une première rencontre en face à face, toutefois nous pouvons procéder à distance par un appel visio en cas d’impossibilité de déplacement. Il appartient au coaché de décider si l’accompagnement s’oriente vers du personnel ou du professionnel.